木曜日, 10月 03, 2013

理性に基づく自然と恩寵の原理(原文):ライプニッツ

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LEIBNIZ

Principes de la nature et de la grâce fondé en raison
(参考: 理性に基づく自然と恩寵の原理google-traslate

 (1714)

 モナド、自然科学01~06
動物05,06
 形而上学07~14
精神14
 神の国15~18

Google翻訳

1. La substance est un être capable d'action. Elle est simple ou composée. La substance simple est celle qui n'a point de parties. La composée est l'assemblage des substances simples, ou des monades . Monas est un mot grec qui signifie l'unité, ou ce qui est un. Les composés, ou les corps, sont des multitudes ; et les substances simples, les vies, les âmes, les esprits sont des unités. Et il faut bien qu'il y ait des substances simples partout, parce que sans les simples il n'y aurait point de composés ; et par conséquent toute la nature est pleine de vie.

2. Les monades, n'ayant point de parties, ne sauraient être formées ni défaites. Elles ne peuvent commencer ni finir naturellement, et durent par conséquent autant que l'univers, qui sera changé, mais qui ne sera point détruit. Elles ne sauraient avoir des figures ; autrement elles auraient des parties. Et par conséquent une monade en elle-même, et dans le moment, ne saurait être discernée d'une autre que par les qualités et actions internes, lesquelles ne peuvent être autre chose que ses perceptions (c'est-à-dire les représentations du composé, ou de ce qui est dehors dans le simple), et ses appétitions (c'est-à-dire ses tendances d'une perception à l'autre) qui sont les principes du changement. Car la simplicité de la substance n'empêche point la multiplicité des modifications qui se doivent trouver ensemble dans cette même substance simple, et elles doivent consister dans la variété des rapports aux choses qui sont au-dehors. C'est comme dans un centre ou point, tout simple qu'il est, se trouvent une infinité d'angles formés par les lignes qui y concourent.

3. Tout est plein dans la nature. Il y a des substances simples partout, séparées effectivement les unes des autres par des actions propres, qui changent continuellement leurs rapports ; et chaque substance simple ou monade distinguée, qui fait le centre d'une substance composée (comme par exemple d'un animal), et le principe de son unicité, est environnée d'une masse composée par une infinité d'autres monades, qui constituent le corps propre de cette monade centrale suivant les affections duquel elle représente, comme dans une manière de centre, les choses qui sont hors d'elle. Et ce corps est organique, quand il forme une manière d'automate ou de machine de la nature, qui est machine non seulement dans le tout, mais encore dans les plus petites parties qui se peuvent faire remarquer. Et comme à cause de la plénitude du monde tout est lié, et chaque corps agit sur chaque autre corps, plus ou moins selon la distance, et en est affecté par réaction, il s'ensuit que chaque monade est un miroir vivant, ou doué d'action interne, représentatif de l'univers, suivant son point de vue, et aussi réglé que l'univers lui-même. Et les perceptions dans la monade naissent les unes des autres par les lois des appétits ou des causes finales du bien ou du mal qui consistent dans les perfections remarquables, réglées ou déréglées, comme les changements des corps et les phénomènes au-dehors naissent les uns des autres par les lois des causes efficientes , c'est-à-dire des mouvements. Ainsi il y a une harmonie parfaite entre les perceptions de la monade et les mouvements des corps, préétablie d'abord entre le système des causes efficientes et celui des causes finales. Et c'est en cela que consiste l'accord et l'union physique de l'âme et du corps, sans que l'un puisse changer les lois de l'autre.

4. Chaque monade, avec un corps particulier, fait une substance vivante. Ainsi il n'y a pas seulement de la vie partout, jointe aux membres ou organes ; mais même il y en a une infinité de degrés dans les monades, les unes dominant plus ou moins sur les autres. Mais quand la monade a des organes si ajustés que par leur moyen il y a du relief et du distingué dans les impressions qu'ils reçoivent, et par conséquent dans les perceptions qui les représentent (comme par exemple, lorsque par le moyen de la figure des humeurs des yeux, les rayons de la lumière sont concentrés et agissent avec plus de force), cela peut aller jusqu'au sentiment , c'est-à-dire jusqu'à une perception accompagnée de mémoire , à savoir, dont un certain écho demeure longtemps pour se faire entendre dans l'occasion ; et un tel vivant est appelé animal , comme sa monade est appelée une âme . Et quand cette âme est élevée jusqu'à la raison , elle est quelque chose de plus sublime, et on la compte parmi les esprits, comme il sera expliqué tantôt. Il est vrai que les animaux sont quelquefois dans l'état de simples vivants, et leurs âmes dans l'état de simples monades, savoir, quand leurs perceptions ne sont pas assez distinguées pour qu'on s'en puisse souvenir, comme il arrive dans un profond sommeil sans songes, ou dans un évanouissement ; mais les perceptions devenues entièrement confuses se doivent redévelopper dans les animaux par les raisons que je dirai tantôt § 12. Ainsi il est bon de faire distinction entre la perception qui est l'état intérieur de la monade représentant les choses externes, et l' aperception qui est la conscience , ou la connaissance réflexive de cet état intérieur, laquelle n'est point donnée à toutes les âmes, ni toujours à la même âme. Et c'est faute de cette distinction que les cartésiens ont manqué, en comptant pour rien les perceptions dont on ne s'aperçoit pas, comme le peuple compte pour rien les corps insensibles. C'est aussi ce qui a fait croire aux mêmes cartésiens que les seuls esprits sont des monades, qu'il n'y a point d'âme des bêtes, et encore moins d'autres principes de vie . Et comme ils ont trop choqué l'opinion commune des hommes en refusant le sentiment aux bêtes, ils se sont trop accommodés au contraire aux préjugés du vulgaire en confondant un long étourdissement qui vient d'une grande confusion des perceptions avec une mort à la rigueur où toute la perception cesserait ; ce qui a confirmé l'opinion mal fondée de la destruction de quelques âmes et le mauvais sentiment de quelques esprits forts prétendus, qui ont combattu l'immortalité de la nôtre.

5. Il y a une liaison dans les perceptions des animaux qui a quelque ressemblance avec la raison ; mais elle n'est fondée que dans la mémoire des faits ou effets, et nullement dans la connaissance des causes. C'est ainsi qu'un chien fuit le bâton dont il a été frappé parce que la mémoire lui représente la douleur que ce bâton lui a causée. Et les hommes en tant qu'ils sont empiriques, c'est-à-dire dans les trois quarts de leurs actions, n'agissent que comme des bêtes ; par exemple, on s'attend qu'il fera jour demain parce qu'on l'a toujours expérimenté ainsi. Il n'y a qu'un astronome qui le prévoie par raison ; et même cette prédiction manquera enfin, quand la cause du jour, qui n'est point éternelle, cessera. Mais le raisonnement véritable dépend des vérités nécessaires ou éternelles, comme sont celles de la logique, des nombres, de la géométrie, qui font la connexion indubitable des idées et les conséquences immanquables. Les animaux, où ces conséquences ne se remarquent point, sont appelés bêtes ; mais ceux qui connaissent ces vérités nécessaires sont proprement ceux qu'on appelle animaux raisonnables, et leurs âmes sont appelées esprits. Ces âmes sont capables de faire des actes réflexifs, et de considérer ce qu'on appelle moi, substance, monade, âme, esprit ; en un mot, les choses et les vérités immatérielles. Et c'est ce qui nous rend susceptibles des sciences ou des connaissances démonstratives.

6. Les recherches des modernes nous ont appris, et la raison l'approuve, que les vivants dont les organes nous sont connus, c'est-à-dire les plantes et les animaux, ne viennent point d'une putréfaction ou d'un chaos comme les anciens ont cru, mais de semences préformées, et par conséquent de la transformation des vivants préexistants. Il y a de petits animaux dans les semences des grands, qui, par le moyen de la conception, prennent un revêtement nouveau qu'ils s'approprient, et qui leur donne moyen de se nourrir et de s'agrandir pour passer sur un plus grand théâtre et faire la propagation du grand animal. Il est vrai que les âmes des animaux spermatiques humains ne sont point raisonnables, et ne le deviennent que lorsque la conception détermine ces animaux à la nature humaine. Et comme les animaux généralement ne naissent point entièrement dans la conception ou génération , ilsne périssent pas non plus entièrement dans ce que nous appelons mort ; car il est raisonnable que ce qui ne commence pas naturellement ne finisse pas non plus dans l'ordre de la nature. Ainsi, quittant leur masque ou leur guenille, ils retournent seulement à un théâtre plus subtil, où ils peuvent pourtant être aussi sensibles et bien réglés que dans le plus grand. Et ce qu'on vient de dire des grands animaux a encore lieu dans la génération et la mort des animaux spermatiques mêmes ; c'est-à-dire, ils sont les accroissements d'autres spermatiques plus petits, à proportion desquels ils peuvent passer pour grands, car tout va à l'infini dans la nature. Ainsi non seulement les âmes, mais encore les animaux sont ingénérables et impérissables : ils ne sont que développés, enveloppés, revêtus, dépouillés, transformés ; les âmes ne quittent jamais tout leur corps et ne passent point d'un corps dans un autre corps qui leur soit entièrement nouveau. Il n'y a donc point de métempsycose, mais il y a métamorphose. Les animaux changent, prennent et quittent seulement des parties ce qui arrive peu à peu et par petites parcelles insensibles, mais continuellement, dans la nutrition ; et tout d'un coup, notablement, mais rarement, dans la conception ou dans la mort, qui les font acquérir ou perdre tout à la fois.

7. Jusqu'ici nous n'avons parlé qu'en simples physiciens : maintenant il faut s'élever à la métaphysique, en nous servant du grand principe, peu employé communément, qui porte que rien ne se fait sans raison suffisante, c'est-à-dire que rien n'arrive sans qu'il soit possible à celui qui connaîtrait assez les choses de rendre une raison qui suffise pour déterminer pourquoi il en est ainsi, et non pas autrement. Ce principe posé, la première question qu'on a droit de faire sera : pourquoi il y a plutôt quelque chose que rien ? Carle rien est plus simple et plus facile que quelque chose. De plus, supposé que des choses doivent exister, il faut qu'on puisse rendre raison pourquoi elles doivent exister ainsi, et non autrement.

8. Or, cette raison suffisante de l'existence de l'univers ne se saurait trouver dans la suite des choses contingentes, c'est-à-dire des corps et de leurs représentations dans les âmes ; parce que la matière étant indifférente en elle-même au mouvement et au repos, et à un mouvement tel ou tel autre, on n'y saurait trouver la raison du mouvement, et encore moins d'un tel mouvement. Et quoique le présent mouvement qui est dans la matière vienne du précédent, et celui-ci encore d'un précédent, on n'en est pas plus avancé, quand on irait aussi loin que l'on voudrait ; car il reste toujours la même question. Ainsi, il faut que la raison suffisante, qui n'ait plus besoin d'une autre raison, soit hors de cette suite des choses contingentes, et se trouve dans une substance qui en soit la cause, et qui soit un être nécessaire, portant la raison de son existence avec soi ; autrement on n'aurait pas encore une raison suffisante où l'on puisse finir. Et cette dernière raison des choses est appelée Dieu .

9. Cette substance simple primitive doit renfermer éminemment les perfections contenues dans les substances dérivatives qui en sont les effets ; ainsi elle aura la puissance, la connaissance et la volonté parfaites, c'est-à-dire elle aura une toute-puissance, une omniscience et une bonté souveraine. Et comme la justice , prise fort généralement, n'est autre chose que la bonté conforme à la sagesse, il faut bien qu'il y ait aussi une justice souveraine en Dieu. La raison qui a fait exister les choses par lui, les fait encore dépendre de lui en existant et en opérant : et elles reçoivent continuellement de lui ce qui les fait avoir quelque perfection ; mais ce qui leur reste d'imperfection vient de la limitation essentielle et originale de la créature.

10. Il suit de la perfection suprême de Dieu qu'en produisant l'univers il a choisi le meilleur plan possible où il y ait la plus grande variété, avec le plus grand ordre, le terrain, le lieu, le temps les mieux ménagés : le plus d'effet produit par les voies les plus simples ; le plus de puissance, le plus de connaissance, le plus de bonheur et de bonté dans les créatures que l'univers en pouvait admettre. Car tous les possibles prétendant à l'existence dans l'entendement de Dieu à proportion de leurs perfections, le résultat de toute ces prétentions doit être le monde actuel le plus parfait qui soit possible. Et sans cela il ne serait pas possible de rendre raison pourquoi les choses sont allées plutôt ainsi qu'autrement.

11. La sagesse suprême de Dieu lui a fait choisir surtout les lois du mouvement les mieux ajustées et les plus convenables aux raisons abstraites ou métaphysiques. Il s'y conserve la même quantité de la force totale et absolue ou de l'action, la même quantité de la force respective ou de la réaction ; la même quantité enfin de la force directive. De plus, l'action est toujours égale à la réaction, et l'effet entier est toujours équivalent à sa cause pleine. Et il est surprenant que, par la seule considération des causes efficientes ou de la matière, on ne saurait rendre raison de ces lois du mouvement découvertes de notre temps et dont une partie a été découverte par moi-même. Car j'ai trouvé qu'il y faut recourir aux causes finales , et que ces lois ne dépendent point du principe de la nécessité comme les vérités logiques, arithmétiques et géométriques ; mais du principe de la convenance , c'est-à-dire du choix de la sagesse. Et c'est une des plus efficaces et des plus sensibles preuves de l'existence de Dieu pour ceux qui peuvent approfondir ces choses.

12. Il suit encore de la perfection de l'auteur suprême que non seulement l'ordre de l'univers entier est le plus parfait qui se puisse, mais aussi que chaque miroir vivant représentant l'univers suivant son point de vue, c'est-à-dire que chaque monade , chaque centre substantiel, doit avoir ses perceptions et ses appétits les mieux réglés qu'il est compatible avec tout le reste. D'où il s'ensuit encore que les âmes , c'est-à-dire les monades les plus dominantes, ou plutôt les animaux mêmes, ne peuvent manquer de se réveiller de l'état d'assoupissement où la mort ou quelque autre accident les peut mettre.

13. Car tout est réglé dans les choses une fois pour toutes avec autant d'ordre et de correspondance qu'il est possible ; la suprême sagesse et bonté ne pouvant agir qu'avec une parfaite harmonie. Le présent est gros de l'avenir : le futur se pourrait lire dans le passé ; l'éloigné est exprimé dans le prochain. On pourrait connaître la beauté de l'univers dans chaque âme si l'on pouvait déplier tous ses replis, qui ne se développent sensiblement qu'avec le temps. Mais, comme chaque perception distincte de l'âme comprend une infinité de perceptions confuses qui enveloppent tout l'univers, l'âme même ne connaît les choses dont elle a perception qu'autant qu'elle en a des perceptions distinctes et relevées ; et elle a de la perfection à mesure de ses perceptions distinctes. Chaque âme connaît l'infini, connaît tout, mais confusément. Comme en me promenant sur le rivage de la mer, et entendant le grand bruit qu'elle fait, j'entends les bruits particuliers de chaque vague dont le bruit total est composé, mais sans les discerner ; nos perceptions confuses sont le résultat des impressions que tout l'univers fait sur nous. Il en est de même de chaque monade. Dieu seul a une connaissance distincte de tout ; car il en est la source. On a fort bien dit qu'il est comme centre partout ; mais que sa circonférence n'est nulle part, tout lui étant présent immédiatement, sans aucun éloignement de ce centre.

14. Pour ce qui est de l'âme raisonnable ou de l'esprit , il y a quelque chose de plus que dans les monades, ou même dans les simples âmes. Il n'est pas seulement un miroir de l'univers des créatures, mais encore une image de la divinité. L'esprit n'a pas seulement une perception des ouvrages de Dieu ; mais il est même capable de produire quelque chose qui leur ressemble, quoique en petit. Car, pour ne rien dire des merveilles des songes, où nous inventons sans peine, mais aussi sans en avoir la volonté, des choses auxquelles il faudrait penser longtemps pour les trouver quand on veille ; notre âme est architectonique encore dans les actions volontaires, et, découvrant les sciences suivant lesquelles Dieu a réglé les choses ( pondere, mensura, numero, etc.), elle imite dans son département et dans son petit monde, où il lui est permis de s'exercer, ce que Dieu fait dans le grand.

15. C'est pourquoi tous les esprits, soit des hommes, soit des génies, entrant en vertu de la raison et des vérités éternelles dans une espèce de société avec Dieu, sont des membres de la cité de Dieu, c'est-à-dire du plus parfait état, formé et gouverné par le plus grand et le meilleur des monarques : où il n'y a point de crime sans châtiment, point de bonnes actions sans récompense proportionnée ; et enfin autant de vertu et de bonheur qu'il est possible ; et cela, non pas par un dérangement de la nature comme si ce que Dieu prépare aux âmes troublait les lois des corps, mais par l'ordre même des choses naturelles, en vertu de l'harmonie préétablie de tout temps entre les règnes de la nature et de la grâce, entre Dieu comme architecte et Dieu comme monarque ; en sorte que la nature mène à la grâce et que la grâce perfectionne la nature en s'en servant.

16. Ainsi, quoique la raison ne nous puisse point apprendre le détail du grand avenir réservé à la révélation, nous pouvons être assurés par cette même raison que les choses sont faites d'une manière qui passe nos souhaits. Dieu étant aussi la plus parfaite et la plus heureuse et par conséquent la plus aimable des substances, et l'amour pur véritable consistant dans l'état qui fait goûter du plaisir dans les perfections et dans la félicité de ce qu'on aime, cet amour doit nous donner le plus grand plaisir dont on puisse être capable, quand Dieu en est l'objet.

17. Et il est aisé de l'aimer comme il faut, si nous le connaissons comme je viens de dire. Car, quoique Dieu ne soit point sensible à nos sens externes, il ne laisse pas d'être très aimable, et de donner un très grand plaisir. Nous voyons combien les honneurs font plaisir aux hommes, quoiqu'ils ne consistent point dans les qualités des sens extérieurs. Les martyrs et les fanatiques, quoique l'affection de ces derniers soit mal réglée, montrent ce que peut le plaisir de l'esprit ; et, qui plus est, les plaisirs mêmes des sens se réduisent à des plaisirs intellectuels confusément connus. La musique nous charme, quoique sa beauté ne consiste que dans les convenances des nombres et dans le compte dont nous ne nous apercevons pas, et que l'âme ne laisse pas de faire, des battements ou vibrations des corps sonnants qui se rencontrent par certains intervalles. Les plaisirs que la vue trouve dans les proportions sont de la même nature ; et ceux que causent les autres sens reviendront à quelque chose de semblable, quoique nous ne puissions pas l'expliquer si distinctement.

18. On peut même dire que dès à présent l'amour de Dieu nous fait jouir d'un avant-goût de la félicité future. Et quoiqu'il soit désintéressé, il fait par lui-même notre plus grand bien et intérêt, quand même on ne l'y chercherait pas et quand on ne considérerait que le plaisir qu'il donne, sans avoir égard à l'utilité qu'il produit ; car il nous donne une parfaite confiance dans la bonté de notre auteur et maître, laquelle produit une véritable tranquillité de l'esprit ; non pas comme les stoïciens résolus à une patience par force, mais par un contentement présent, qui nous assure même un bonheur futur. Et outre le plaisir présent, rien ne saurait être plus utile pour l'avenir, car l'amour de Dieu remplit encore nos espérances et nous mène dans le chemin du suprême bonheur, parce qu'en vertu du parfait ordre établi dans l'univers, tout est fait le mieux qu'il est possible, tant pour le bien général qu'encore pour le plus grand bien particulier de ceux qui en sont persuadés et qui sont contents du divin gouvernement ; ce qui ne saurait manquer dans ceux qui savent aimer la source de tout bien. Il est vrai que la suprême félicité (de quelque vision béatifique, ou connaissance de Dieu, qu'elle soit accompagnée) ne saurait jamais être pleine, parce que Dieu étant infini, ne saurait être connu entièrement. Ainsi notre bonheur ne consistera jamais et ne doit point consister dans une pleine jouissance, où il n'y aurait plus rien à désirer et qui rendrait notre esprit stupide ; mais dans un progrès perpétuel à de nouveaux plaisirs et de nouvelles perfections.


グーグル翻訳

1。 物質は作用のあることが可能である。 これは、単純または化合物である。 単体では、どれが何の部分で構成されていないということです。 アセンブリは単体、またはモナドから構成されている。 モナスは団結を意味するギリシャ語であるか、何ですか。 化合物、または体が、群衆、簡単な物質、生命、魂であり、心は単位です。 と単純なポイント化合物があるだろうそれらなしので、それは、単純な物質がどこにでも存在していることでなければならず、その結果、すべての性質は生命に満ちている。

2。 モナドは、ない部分を有していない、訓練又は損失することはできません。 彼らは、開始またはコースの終了、及び変更される、宇宙のようにそんなに持っていたが、破壊されないものとなることはできません。 彼らは数字を持っていない、そうでない場合は、当事者を持っているでしょう。 すなわち知覚(以外のものにすることはできず、それゆえモナド自体、そしてその瞬間に、資質や内部のアクションによって、互いから識別することができない、、公演化合物、またはどのような方法で、外にある)、および変更の原則である彼の食欲(すなわち、他の動向の認識)、の。 物質を簡単にするために同じ単体で一緒に発見された多くの変更を防ぐことはできませんし、外にあるものに、さまざまなレポートで構成されなければならない。 それはこれに貢献するラインによって形成された角度の無限がある、という単にセンターやポイントのようなものだ。

3。 すべてが完全な自然の中でです。 単純な物質がどこにでもありますが、効果的に継続的にレポートを変更する自分の行動によって、互いに分離し、それぞれ単体またはモナドは区別し、そのような動物のような化合物の物質(の中心である)と、その独自性の原理は、そのセンターの事をする方法として、体自身のこの中央のモナド、それが表す、以下の条件である他のモナドの無限から成る塊に囲まれていますそれから外れている。 それは全体的に、しかし、気づいたことができる小さな部分だけでなく、機械である自然のPLCまたはマシンの道を形成したときにこの体は、有機的である。 そして世界のすべての膨満の結果として接続されており、各本体は距離に応じて多かれ少なかれ、互いに体に作用し、反応により影響され、各モナドリビングミラー、または才能あるということになる内部、宇宙のアクションの担当者が、彼の視点によると、また、宇宙自体を設定します。 とモナドにおける認識は、それぞれ外に生まれて食欲の法律またはそのような身体の変化や現象として顕著完璧に構成されて良いか悪の最終的な原因は、定住や無秩序によって互いから生まれて効率的な原因の法律によって、他の、それは動きを言うことです。 したがって、モナドの認識と身体の動きの間に、効率的な原因の第一の所定のシステムとの間で、最終的な原因のその完璧な調和があります。 そしてそれは1つせずに契約し、魂と体の物理的な組合は、別の法律を変更することができ、この中です。

4。 特定の身体を持つ各モナドは、生きている物質である。 したがって、唯一の人生は手足や臓器に付着、どこにでもありませんが、それでも他のものに比べていくつかの多かれ少なかれ支配的モナドの度の無限の数が存在します。 しかし、モナドは(例えば、図1の手段表す認識にしたがってので、それらを通して救済、彼らが受け取る識別感想があるように調整器官を持っており、時目の気分、光線が)集中してより多くの力を持って行動している、それを感じるために行くことができ、メモリを伴う認知に言うことである、すなわち、特定のまだそのモナドが魂と呼ばれるような機会に聞こえるように、これは動物と呼ばれる長いエコー。 および精神を右に上昇する場合には、先に説明したように、より崇高なものであり、スピリッツの一つである。 それが起こるとして、それは、動物がシンプルな生活状態に時折あり、その認識を覚えることができるように私たちのために十分に区別されないシンプルなモナド、すなわち、の状態で自分の魂というのは本当です。深い夢のない眠り、または失神に、しかし、認識は私は時々言う理由で動物で再開発するために、完全に混乱している§12。 だから、すべての点に与えられる外部の物事を表すモナドの内部状態であり、知覚はその意識で認識するか、この内部状態の反射知識、区別するために良いです魂、また常に同じ魂。 そしてそれは人々が何を区別しない体のために数えるようにデカルトは、我々は気づかない何の認識のために数えて、逃したこの区別のためです。 これは獣のない魂は、人生の他の原則はおろかがないことを、唯一の同じデカルト心がモナドであることを信じるように導か何もあり。 彼らはあまりにも愚かに感じることを拒否し、男性の一般的な意見に衝撃を与えたとして、それらはあまりに死厳格と認識の混乱から来る長いめまいを混乱ではなく下品な偏見の収容されているどこ全体知覚停戦、いくつかの思想家と呼ばれる魂の破壊といくつかの悪い感じの無限定適正意見を確認し、私たちの不滅を戦った。

5。 その理由にはいくつかの類似点がありますが、それは事実や効果のメモリ内ではなく、原因の知識に設立されている動物の認識のリンクがあります。 メモリは彼が固執起こしていることを彼女の痛みなので、犬は彼が打たれたスティックを逃げるようなものだ。 そして、彼らの行動の四分の三で言うことです、彼らは経験的であるとして、男性は、獣としては、例えば、それは彼が明日更新することが期待されるだけで行動することを理由我々は常にこのことを経験している。 そこに理由により提供天文学者であり、さらにその予測がついに時永遠の停戦はない日、の原因は、失敗する。 しかし、本当の理由は、アイデアの紛れもない接続および不可避的な結果であるロジック、数字、幾何学、のものであるとして、必要であるか、または永遠の真理に依存します。 これらの結果が目立つ点である動物は、獣と呼ばれるが、これらの真理を知っている人は、適切に必要な合理的な動物はいわゆるであり、彼らの魂は心と呼ばれています。 これらの魂は反射的行動が可能である、そして、あなたは私を呼んでいるもの、モナド、魂、心、言葉で、物事と無形の真理を考えてみましょう。 そして、それは科学や実証知識に私たちが受けやすくなりますものです。

6。 現代の研究は私たちを教えてきた、と理由が承認し、私たちに知られている生体、それは言うことであること、植物や動物は、腐敗や混乱を来ていない古代人は信じていますが、予め形成された種子は、したがって、既存の生活の変換として。 偉大なの種子に小動物があります、それは、デザインを通じて、新たなコーティングをとる彼らは、適切かつそれらを与えること以上に切り替えて供給し、成長することを意味します大劇場や大型動物の普及。 それは人間の精子動物の魂が合理的ではないことは事実であり、デザインは人間の本性に、これらの動物を判断したときだけそうなる。 動物は通常、設計や世代ilsne完全に生まれていないとして、それが自然のためにどちらか終わらない始まらない合理的であるためにと、私たちは死を呼ぶもので完全にどちらか滅びない自然。 したがって、それらのマスクまたはそれらのぼろを残して、彼らは彼らだけが最大のように敏感な、まだ十分に解決することができ、より微妙な劇場に戻ります。 そして、私たちはただ、大きな動物がまだ精子動物の発生や死亡自分自身で発生し、即ち、彼らが過ごすことができる割合で他の精子の最小単位であると述べた大のために、すべてが自然の中で無限大に行くので。 したがって魂だけでなく、動物がingénérablesと忘れられないです:彼らは唯一の処理、開発包まれ、コーティングされ、除去され、魂は自分の全身を残さない、体内で別のポイントに1体から移動することがない彼らは全く新しいものです。 変態はそこに輪廻転生のポイントはそれゆえですが。 動物変化し、徐々に、小さなプロットに鈍感起こる部分だけを残して取るが、継続的に栄養、そして突然、大幅に、まれ、デザインにまたは死亡で、そのうちのすべて彼らが獲得するか、またはその両方を失わせる。

7。 これまでのところ我々は、単純な物理学を話されました:今、私たちは、形而上学に上昇する必要があり、我々は何も正当な理由なしで行うことはできないと述べ大原則、一般的に使用されるいくつかで使用され、それはです何もそれは、これはそうではなく他の方法である理由を判断する事が理由で十分にするために十分に知っていたものに可能であることなく、起こらないと言うこと。 この原則は、我々が権利を持っている最初の質問を設定しています、むしろ何もしないより何かがある理由は? カール何が何よりも単純で簡単ではありません。 また、物事が存在しなければならないと仮定し、それは彼らがそうしないと同様に存在し、かつてはならない理由を与えることができなければなりません。

8。 材料自体は無関心であるので、宇宙の存在のためにこの十分な理由は、魂に身体とその表現を言うことである偶発的なもの、の残りの部分で見つけられない同じ運動と安静時と運動がこのまたはその、移動の理由をそこに見つけることができません、そのような動きはおろか。 そして、この動きは、材料であるが、上から来て、限り我々はそれのためにしたいと思うのと同じままである場合、それはまだ、それが、より高度な先例ではない質問。 従って、と、もはや偶発事物の一連の外にある別の理由を必要とせず、十分な理由が原因であり、どれが必要で存在する物質であることが必要であるあなたとその存在理由は、そうしないとあなたが終えることができる理由を持っていないでしょう。 とするためのもの、後者は神と呼ばれています。

9。 この単純な原始物質は誘導体物質に含まれている完璧に効果が際立って含まれている必要がありますので、それはパワー、知識と完璧な意志、それは全能、全知と意志と言うことですがあります主権良。 と正義として、一般的に強い取ら知恵に従い、何も良さはありません、それは神のソブリン正義もあることでなければなりません。 物事はその中に存在する作ら理由は、まだ彼は、既存及び営業に依存しますし、彼らは継続的に本質的な制限は、それらがいくつかの完成度を持っているが、その不完全さとは何かをさせるのか、彼から受け取る元の生き物。

10。 それは良い形成最大次数、地形、場所、時間との最大の多様性がある場合、彼は可能な限り最良のプランを選んだ宇宙を製造する際に、神の至高の完成度から、次のとおり最も簡単な方法のそれ以上の効果が、より多くの電力、より多くの知識、宇宙の生き物でより多くの幸福と善は認めることができます。 彼らの完成度に比例して、神の心の中で存在する可能性のあるすべての候補については、そのようなクレームの結果は、今日最も完璧な可能世界でなければなりません。 そして、それなしでは物事がそうでなければ、むしろうまくいった理由を与えることは不可能であろう。

11。 神の最高の知恵は、彼が特に抽象的あるいは形而上学的な理由のために最高のフィット感と、最適な運動の法則を選択しました。 それは全体の絶対的力や行動同じ量の、それぞれの強さや反応の同じ量、同じ量ついに指令強度を保持します。 また、アクションが常に反応に等しく、全体の効果は、常にその完全な原因と等価である。 そしてそれは自分自身によって発見された一部が、効率的な原因や材料の単なる対価は、我々は我々の時間と運動のこれらの法律の発見のために理由を与えることができないことは驚くべきことである。 私はそこに最終的な原因に頼らなければならず、これらの法律は、論理、算術や幾何学的な真理として必要性の原則に依存しないと思ったが、利便性の原則、それは言うことですので、知恵の選択。 そして、これは、これらのものを探索することができます人々に神の存在をより効率的に、より敏感な証拠である。

12。 彼はまだ宇宙のだけでなく、順序は宇宙を表す、すべての生きているミラーは彼の視点によると、それがあることもできますが、最も完璧であることを最高の作家の完成に続き各モナド、それぞれのほぼ中央には、彼らの認識とベストセットは他のすべてと互換性のある食欲を持っている必要があることを意味します。 したがって、それはまた、と言うことです魂、最も支配的モナド、というか同じ動物が、眠り状態からウェイクアップに失敗することはできませんということにどこ死亡または他のいくつかの事故がかかる場合があります。

13。 ずっと順序と対応が可能であるように、すべてが一度、すべてので物事に設定されているので、最高の知恵と善は完璧な調和を持って行動することはできません。 これは将来のために大きい:未来は過去に読んでも、リモートは次で表されます。 それは時間をかけて大きく成長、そのすべての折り目を、展開することができれば我々はすべての魂の宇宙の美しさを体験することができます。 コアの各個別の認識が宇宙全体を囲む混乱認識の無限大を含み、としてではなく、魂は、彼女がこれまでのところ、それは明確な認識を持っていると認識され、記録のことを知っており、それは明確な認識を測定するため完璧に。 それぞれの魂は、無限を知っているすべてを知っているが、混乱して。 私は海岸の上を歩いて、そしてそれが作る大きな音を聞いたので、私は全体のノイズが行われ、各波の独特の音を聞くが、見分ける、私たちの認識が混乱した印象の結果である全宇宙は私たちにあること。 同じことが各モナドの真です。 それがソースであるため、神は一人で、すべてのものの明確な知識を持っています。 それはよく、それはどこにでも中心であることを述べたが、その周囲はちょうど彼がすぐに中心から任意の距離なしで存在している、どこにもされていません。

14。 理性的な魂や心の面では、モナドより、あるいは単純な魂にもっと何かがある。 それは生き物の宇宙の鏡が、神のイメージだけではありません。 精神だけではなく、神の作品を集めたものですが、彼は小さいものの、でも、彼らのように見える何かを生成することができる。 のために、我々は難なく考案の夢の不思議、の何も言わないことではなく、意志を持たずに、物事は彼はあなたが寝るときにそれらを見つけるために長いと思うしなければならないでしょう、私たちの魂は、建築の自主的な行動にまだあると、神は(加重、mensura、番号など。)のものを設定して、次の科学を発見し、それは、神は偉大で何をしているか、彼の部門で、彼が行使することが許可されている彼自身の小さな世界で模倣。

15。 なぜすべての霊つまり、男性や霊のどちらかが、神と社会の一種で右と永遠の真理の下に入り、神の街のメンバーである、それは言うことです全く犯罪が罰なしで存在しない最大かつ最高の君主、相応の報酬なし無善行、そして最終的に同じくらい美徳とされ幸福によって形成され、支配最も完璧な状態、可能であれば、これは、自然の乱れかのようで、神が間に予定調和の下で、問題を抱えた魂体の法律に準備が、物事の同じ自然な順序でされている任意の時間が君臨しないその自然は恵みをもたらして、その恵みは、それを使用することによって、自然を完成ように君主としての建築家としての神と神の間に自然と恵み、。

16。 私たちが開発した理由は、啓示のための店で偉大な未来の詳細を学ぶことができますがこのように、我々は物事が私たちの願いを渡す方法で行われているのと同じ理由で保証することができます。 神はまた、ほとんど完璧と幸せ、したがって、より友好的な物質であり、純粋で真実の愛は、実際には、この、私たちが愛する人の完成と幸福に喜びを味わうの状態で構成されています愛は私たちに神がオブジェクトである場合、我々は、できるかもしれないことを最大の喜びを与える必要があります。

17。 そしてそれは、それが必要として愛することは簡単ですが、私が今言ったように私たちが知っているので。 神は私たちの外部感覚点に敏感であるがために、それは非常に友好的であることができるようにと大きな喜びを与えるものではありません。 彼らは外部の感覚の資質の点で構成が、我々は、特別男性に喜びであるかを見る。 これらの愛情が正しく設定されていても殉教者と狂信者は、心の喜びとは、より多くの何であるか、感覚の同じ喜びを漠然と知ら知的快楽に還元されることができるかを示しています。 音楽の魅力私たちは、その美しさは、口座番号の利便性であり、我々は認識せず、魂はいくつに会う鳴っ体のビートや振動を行うことを残していないことが、間隔。 割合で視力の喜びは、同じ性質のものである、と我々ははっきりとそれを説明することはできませんが、他の感覚を引き起こすものは、似たように戻ります。

18。 一つは、今でも神の愛は、私たちは将来の至福の味を楽しむことができていると言うことができます。 それは無私のですが、彼は自身が私たちの最大の資産と関心は、我々はそれを追求していない場合でも、私たちは喜び、それはそのユーティリティに関係なく、与えることを考慮しない場合それが私たちの心の真の平和を作り出す当社の著者と教師の良さ、完璧な自信を与えるので、それは我々がいる今ではない力で解決ストア派の忍耐としてではなく、満足することにより、生産でも将来の幸福を提供しています。 そして、この喜びに加えて、何も神の愛は、まだ我々の期待を満たし、完璧な順序で宇宙に設立されたので、至福のパスで私たちをリードしているため、将来的にはより便利になることができなかったすべては愛する方法を知っている人では失敗しなかった、自信を持っていると神の政府に満足している人、特にそれらのより良いため、まだなどの一般的な利益のために、彼ができる最善を尽くしているすべての良いの源。 それは、神が無限である、完全に知ることができないので、至福は(いくつかの至福のビジョン、あるいは神の知識は、それが伴っている)、完全にすることはできませんというのは本当です。 私たちの幸せとは決しては次のようになりますと完全な享受、で構成されていないはずの場所が望まれるように何もないと、私たちの心は愚か作るだろうが、新しい喜びと新しい完成度に永遠の進歩である。

8 Comments:

Blogger yoji said...

デカルト、哲学の木。
道徳が「知恵の最後の段階」にくるので、以下でも良い。

   道徳学
   l   機械学 
医学 l◯  /    ◯果実→公衆へ
 \ l  /◯       
 ◯\ll/  枝、諸々のその他の学問  
   ll
   ll   幹、自然学  第二の部分 哲学原理2~4/4
-ーーllーー-
  /\/\  根、形而上学 第一の部分
                  省察、哲学原理1/4

中公世界の名著325頁

この前段の学問に、日常道徳、数学を含む論理学がある


ライプニッツの原理は1と2が逆

6:48 午前  
Blogger yoji said...

18.
On peut même dire que dès à présent l'amour de Dieu nous fait jouir d'un avant-goût de la

félicité 幸福

future. Et quoiqu'il soit désintéressé, il fait par lui-même notre plus grand bien et intérêt, quand même on ne l'y chercherait pas et quand on ne considérerait que le plaisir qu'il donne, sans avoir égard à l'utilité qu'il produit ; car il nous donne une parfaite confiance dans la bonté de notre auteur et maître, laquelle produit une véritable tranquillité de l'esprit ; non pas comme les stoïciens résolus à une patience par force, mais par un contentement présent, qui nous assure même un bonheur futur. Et outre le plaisir présent, rien ne saurait être plus utile pour l'avenir, car l'amour de Dieu remplit encore nos espérances et nous mène dans le chemin du suprême bonheur, parce qu'en vertu du parfait ordre établi dans l'univers, tout est fait le mieux qu'il est possible, tant pour le bien général qu'encore pour le plus grand bien particulier de ceux qui en sont persuadés et qui sont contents du divin gouvernement ; ce qui ne saurait manquer dans ceux qui savent aimer la source de tout bien. Il est vrai que la suprême félicité (de quelque vision

béatifique, 至福


ou connaissance de Dieu, qu'elle soit accompagnée) ne saurait jamais être pleine, parce que Dieu étant infini, ne saurait être connu entièrement. Ainsi notre bonheur ne consistera jamais et ne doit point consister dans une pleine jouissance, où il n'y aurait plus rien à désirer et qui rendrait notre esprit stupide ; mais dans un progrès perpétuel à de nouveaux plaisirs et de nouvelles perfections.

6:43 午後  
Blogger yoji said...

スピノザ『エチカ』
幸福 felicitas,〜=自己の有を維持しうること 四定理18備考(下29). 最高の〜(=至福)=神への認識=知性の完成 二定理49備考(上163),四付録4./ その他 三定理39備考,三感情定義23,五定理39備考.

至福 beatitudo,四付録4. / 精神の自由ないし〜 五序言(下97),定理36備考, 〜=神に対する人間の愛=人間に対する神の愛 五定理36備考.

〜=徳 五定理42

.// その他 二定理49備考(上163),五定理33備考.

6:45 午後  
Blogger yoji said...



1663.06.09
Disputatio metaphysica de principio individui, quam Deo O.M. annuente et indulti inclytae philosoph. Facultatis in illustri academia Lipsiensi praeside viro excellentissimo et clarissimo DN.M.Jacobo Thomasio eloquent. P.P.Min.Princ. Colleg. Collegiato praeceptore et fautore suo maximo publicé ventilandam proponit G.G.Leibnizius, Lips. Philos. et B.A.Baccal. Aut. et Resp. 30 Maji Anni 1763. ライプツィヒ公刊 Ak6.1,3-19 Ak2.1,3 G4,15-26 Dut2,11-14,400 Ravier1 Erdmann1-5山本(=山本信『ライプニッツ哲学研究』東京大学出版会、1953, 復刻版1975)133要約
(個体化の原理についての形而上学的討論1663)
http://nam-students.blogspot.jp/2008/12/leibniz-metaphysical-disputation-on.html


タイトル ライプニッツ哲学研究 / 山本信 著
ライプニッツ テツガク ケンキュウ
raipunittsu tetsugaku kenkyū
出版事項 東京 : 東京大学出版会, 1953.3
トウキョウ : トウキョウダイガクシュッパンカイ
tōkyō : tōkyōdaigakushuppankai

配架場所 請求記号 現況
中央 B1研究書庫 ロ04 03321 利用可能
戸山 4F学習図書 134 181 欠本
形態 360,12p ; 22cm
分類 134.1 njb/8
別著者等 山本 信, 1924-2005
ヤマモト, マコト, 1924-2005
yamamoto, makoto, 1924-2005
件名 Leibniz, Gottfried Wilhelm, Freiherr von, 1646-1716

10:32 午前  
Anonymous 『縮約(縮退)自然数』 自然比矩形 said...

 ≪…常に同じ魂・…≫を、『自然比矩形』と[円]に[人]が、[希求]して止まない[普遍]を⦅自然数⦆に観る。

 そうすると、どんなに[拡大]・[縮小]しても、『自然比矩形』と[円]での[点・線・面]の[関係]は崩れることはない。

 これこそ⦅モナド⦆と言うもので、⦅自然数⦆の[始原]と観る。

12:36 午後  
Anonymous 絵本のまち有田川 said...

 自然数は、[絵本]「もろはのつるぎ」で・・・

11:32 午後  
Anonymous 心はすべて数学である said...

『自然比矩形』の[展開]が自然数の実数直線で、
『幻のマスキングテープ』に生るとか・・・

『幻のマスキングテープ』の絵本は、

令和2年5月23日~6月7日 の間だけ
射水市大島絵本館で・・・

『かおすのくにのかたなかーど』

6:00 午前  
Anonymous 式神自然数 said...

『HHNI眺望』で観る自然数の絵本あり。
有田川町電子書籍「もろはのつるぎ」

御講評お願いします。

2:33 午後  

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